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    st Avertin 2015 en compagnie de Carole Ewan 

    salon St avertin 2015 avec Carole Ewan

     

     Sur les chemins de la découverte...

    En mars 2016, grâce à Madame Bogatinov, professeur de français, et Catherine Pano, professeur documentaliste, au collège Saint-Joseph , je suis allé pour la première fois à la rencontre d’une classe de 5ème. Ce fut un moment de partage et d’échange riche en émotions. Cette rencontre a donné lieu à l’écriture de textes où chacun(e) a laissé libre cours à son imagination. Je vous invite à prendre quelques minutes pour découvrir des extraits de ces nouvelles policières rédigées par les élèves.

    Un grand merci à tous.

    Extraits

     

    Léonie : Rouge sable…

    Le soleil commençait à disparaître derrière la mer. Clélia Kapteas venait d’arriver après de très longs mois passés à Paris. Elle aimait se retrouver seule sur le sable à méditer.

    *

    Elle décida d’aller marcher sur la plage. Après avoir passé quelque temps debout à écouter les vagues elle s’assit sur le sable doux et commença à creuser avec sa main. Il était doux et c’était agréable de le toucher.  À cet instant, sa main heurta un objet dur, elle pensa que c’était un rocher ou un gros coquillage. Intriguée, elle se mit à creuser tout autour, mais après plusieurs minutes de travail, elle découvrit que l’objet n’était pas un rocher mais… Un corps humain !

    À son âge, 12 ans, Clélia aurait dû être choquée et partir en pleurant, mais Clélia était une jeune curieuse qui aimait l’aventure et qui regardait souvent des séries policières avec ses parents.   

    *

    Elle observait le cadavre qui n’avait rien de particulier sauf une fine coupure à la gorge. Elle se demanda avec quoi avait été faite cette blessure, fine, profonde et mortelle. Juste à côté du cadavre elle vit une coquille d’huître, le bout étant taché de sang. Les ombres noires de la nuit s’installaient, mais à travers les dernières lumières elle put apercevoir une silhouette noire s’en aller.

    *

    Soudain elle eut un doute sur ce suspect, ce n’était sûrement pas lui, mais l’homme assis seul sur le rebord d’un muret en pierre avec les mains tachées de sang.

     

     

     

     

    Clara L : Elise enquête…

    -       Merci de me laisser manger avec toi, papi.

    -       De rien, Elise, c’est toujours un plaisir que tu manges avec nous.

    Un peu plus tard, sur la route, Elise aperçût un chien blanc au beau milieu de la route.

    -       Regarde, Papi ! Il faut le ramener chez son propriétaire avant qu’une voiture ne lui passe dessus.

    -       Tu as raison !

                La voiture s’arrêta sur le côté de la route, Elise et son grand-père descendirent et avancèrent doucement en direction du chien. Le beau chien s’était assis devant un petit portail rouge et ne cessait pas d’aboyer.

     

    *

                Inquiète, Elise sonna à la porte. Rien. Aucune réponse. Personne dans la maison ni dans le jardin. Elle décida d’en parler à la police.

    *

                Quelques minutes plus tard le téléphone sonna, c’était la police.

    -       Bonjour ! Je voulais vous dire que tout est réglé, merci encore…

    Malgré cet appel, Elise en était persuadée, il s’était passé quelque chose dans cette maison.

    -       Je vais me promener grand-père.

    -       Ok, sois prudente…

                Arrivée à la maison, elle essaya de regarder à l’intérieur et elle vit une personne sur le sol, un garçon d’environ 16 ans. Elle vit aussi des bagages, la porte ouverte, une voiture prête à partir et trois hommes.

    *

    Elise enquêta, surveilla en prenant des notes sur son notebook jusqu’au jour où elle appela la police.

    -       Bonjour,  je suis Elise Alison, je vous avais appelé pour l’histoire du chien au milieu de la route. J’ai fait mon enquête, Simon, un des hommes a tué Thomas, je les ai entendus dire que Thomas lui avait pris sa femme et son travail.   

     

     

    Floriane : Simon Segré dans d’autres mains…

    -       Salut, Simon, je te dérange ?

    -       Non ! Je viens d’arriver à Limoges, que se passe-t-il ?

    -       Nous avons découvert le corps sans vie de Patrick Malloney, nous pensons à un meurtre prémédité  car cet homme avait quelques problèmes avec la bande CEA .

    -       Je n’ai jamais entendu parler de cette bande, qu’est-ce qu’elle fait ?

    -       Vol à main armée, trafic de stupéfiants, braquage et j’en passe…

    -       Tu sais où elle se trouve ?

    -       Eh bien justement, la bande se trouve à Limoges !

    -       D’accord ! Écoute Pierre, je dois te laisser car je suis attendu. Envoie- moi les coordonnées de Riki Marochi, il sait sûrement où se trouve cette bande.

     

    *

     

    -       Simon ?

    -       C’est lui-même…

    -       Bonjour, Pierre m’a contacté pour savoir où se trouve la bande CEA.

    -       Oui, c’est bien ça.

    -       Si je te livre cette information, qu’aurais-je en retour ?

    -       Tu auras l’honneur d’avoir aidé une famille à faire le deuil de la mort de leur fils.

    -       Très bien, mais à une condition.

    -       Oui, je t’écoute !

    -       Tu ne dis à personne que c’est moi qui t’ai livré cette information.

    -       Aucun problème…

    -       D’accord, la bande se trouve au nord de Limoges, dans les quartiers défavorisés.

    *

                Simon prend sa voiture et se rend seul là-bas. Il sonne à l’appartement, deux personnes ouvrent. Simon brandit son arme sur ces deux messieurs et leur demande ce qu’ils faisaient la nuit du 12 septembre. Ils ont répondu qu’ils étaient chez eux comme tous les soirs.

     


     

     

     

    Flora R : Clarke…

                Moi, je m’appelle Lexat, je vis en Charente, ma meilleure amie se nomme Clarke, mais depuis quelques jours elle ne vient plus en cours.

    *

                Nous sommes mercredi et ce matin bizarrement, la CPE rentre dans la classe. Tout  le monde se lève et elle commence à parler :

    -       J’ai une mauvaise nouvelle, dit-elle, votre camarade Clarke ne reviendra plus.

    -       Pourquoi ?  s’exclama un élève ?

    -       Car au moment où je vous parle, elle n’est plus de ce monde.

    *

                Je ne pouvais pas croire à un suicide, elle était tellement heureuse, elle avait la joie de vivre en elle. Elle n’avait pas de problème particulier, j’étais bien placée pour le savoir, je connaissais tout d’elle, ses goûts, ses tristesses, ses joies et bien d’autres choses encore.  

    *

                Enfin la porte s’ouvrit, c’était sa mère, elle avait la mine triste, elle était en pyjama et décoiffée.

    -       La police a-t-elle enquêté ? Dis-je avec une larme qui coulait sur ma joue.

    -       Oui, elle présume que c’est un suicide.

    -       Je n’y crois pas du tout ! Criais-je,     

    -       Moi non plus…

     

    Louise D : Disparition…

    -       Bonjour ! Virginie Maréchal à l’appareil, est-ce que je pourrais parler à Sophie Méduse ?

    -       Bonjour ! Je suis son mari, elle n’est pas à la maison, normalement elle est au travail.

    -       Ah ! Nous n’avons aucune trace d’elle au magasin et j’ai téléphoné six fois sur son portable.

    -       Moi, vers midi, je lui ai envoyé un seul message et aucune réponse.

    -       Il faut prévenir la police.

    -       Oui ! Je le fais tout de suite.

    -        

     

     

    Justin : Kidnapping… 

                Ce matin de novembre, Alex se plaça comme à son habitude dans la classe près de la fenêtre. Au bout de cinquante minutes de cours, il lança un regard distrait par la fenêtre et vit, effrayé, son professeur de mathématiques. Bâillonné, il le regarda à travers les vitres d’une grosse berline noire avant que le moteur grogne de toute sa puissance. 

     

    Célestine : Doutes… 

                Il était vingt-trois heures trente quand Léa Firevière rentra enfin chez elle. Comme d’habitude, son chat l’attendait, puis, elle se coucha. C’était le week-end quand Léa se réveilla. Elle prit alors son ordinateur et continua sa recherche entreprise la veille sur le fameux suicide de Thiméo du Gasper. Elle prit beaucoup de notes sur son histoire et pensa  qu’il n’aurait jamais fait ça car à l’époque, il était sociable, gentil et que tout allait pour le mieux Apprendre son suicide provoqua chez elle un choc émotionnel.

     

    Antoine : Ambiance glaciale

                Au fin fond du Canada, à 8 h précises, le car à destination de l’école Saint-Antoine roule sur la route recouverte de verglas. Pan !

    -Un coup de feu a éclaté, s’écria Lucas, un élève du bus.

    Pan !

    -Un deuxième coup de feu, s’écria Louis, un second élève du bus.

                Le car se mit tout à coup  à trembler, il dérapa sur le côté et fit quelques tonneaux avant de s'immobiliser sur le lac gelé.   

    Julie : Où est-elle ?

                Un beau matin, la détective Julie prit l’avion pour aller à Madagascar. En arrivant à l’aéroport, elle vit une personne suspecte qu’elle avait déjà remarquée dans l’avion car elle semblait suivre une jeune femme. Au bout de quelques minutes, elle vit revenir cet homme, mais, aucune trace de la jeune femme. 

    *

    -       Commandant ! La victime s’appelle Amandine Poireau.

    -       Je vais aller faire des recherches, dis-je, à voix basse.  

     

     

    Hugo : Un cadavre dans le placard

    -       Et si vous me donniez la raison de votre appel, j’imagine que ça doit être important pour me tirer ainsi du lit ?

    -       On ne peut plus grave.

    -       Je vous ai appelé pour vous avertir d’un meurtre qui vient d’être commis rue des Hirondelles, dans une boutique. Il était à peu près dix heures.

    -       Bon d’accord ! J’arrive, mais j’espère que c’est la dernière fois que vous me dérangez ainsi.

                Il est quinze heures, le détective découvre le cadavre de la victime. Elle a été étranglée et cachée dans un placard à balais.

     

    Éolia : Suspense…

                J’étais chez moi, c’était le matin, à 8 h00. J’ouvris ma fenêtre pour aérer  ma chambre, tout était calme quand je vis une voiture rouge avec des traits noirs.

    *

                Des hommes sortirent d’une voiture, je pris mon fusil et attendis. Ils arrivèrent à ma porte. J’appelais mon commandant au téléphone et lui dis : « Des hommes en noir sont devant ma porte, venez, je l’ai eu… » .

    -       Le commandant arriva cinq minutes plus tard.

    -       Que se passe-t-il ici ? Pourquoi un homme est assis menotté sur votre canapé ?

    -       Cela fait deux jours que cet homme me suit.

    *

    Max le médecin légiste arriva.

    -       Bonjour Max !

    -       Bonjour Eolia, ça va ?

    Je lui répondis d’un signe de tête (nous venons de nous remettre ensemble)

    -       J’appelais mon commandant

    -       On a des suspects ?

    -       Oui, trois !

     

     

     

    Agathe : Un 16 juillet…

                Le 16 juillet à Montendre, une personne arriva au commissariat. Elle signala la disparition d’une certaine Lara Denay, cela faisait quelques jours que cette personne n’avait plus de nouvelles.

    *

                 Quelques jours auparavant, Lara Leroy devait aller au cinéma avec une de ses amies mais elle ne s’est jamais présentée au rendez-vous.

    *

                Avec le temps, les policiers trouvèrent une piste. Apparemment, un de ses amis avait cru l’apercevoir  dans la rue mais n’était pas sûr que ce soit elle. Après plusieurs mois, la police baissa les bras et abandonna l’enquête.

    *

                Les années passèrent et soudain, lors d’un voyage, un ancien policier qui avait enquêté sur l’affaire crut la reconnaître

     

    Aurore : La victime s’envole…

                En fin d’après- midi, Mary, une policière, embarquait dans un avion pour aller en Australie. Elle était accompagnée par son chien Tabelle. Un peu plus tard, elle entendit un hurlement, à cet instant Tabelle accourut et voyant la scène de crime se mit à japper.

    *

                Tabelle qui était autour du cadavre sentit une odeur de parfum, donc, c’était une fille.

    *

                Mary eut un flash, c’était Théo car dans son sac il y avait le parfum retrouvé sur la scène de crime. Tabelle avait un odorat très développé et avait tout senti. 

     

     

     

     

     

     

    Lou : Restaurant des surprises… 

                Le jour de la St Valentin un couple va au restaurant comme tous les ans.

    *

                Le mari alla aux toilettes. Puis, sa femme, comme tout le restaurant, entendit un cri grave. La femme courut, elle ne se doutait pas de ce qu’elle allait découvrir. Son mari étendu sur le sol avec un coup de couteau dans la tête et 3 dans le torse.

    *

                Les policiers ont regroupé les quatre suspects.

    *

                La femme qui s’appelle Rose  prit  un couteau et tua 3 suspects d’un coup de poignard. Les policiers restèrent bouche bée en voyant Rose entre rire et larmes tuer ces hommes.

     

    Thibault : Rongé de l’intérieur…

    -       Oui bonjour ! Vous êtes bien le détective Alex Boive ?

    -       Oui, pourquoi ?

    -       Je suis désolé de vous déranger, mais je suis l’inspecteur Vorine de la police de Rennes.

    -       Oui qu’y a-t-il ?

    -       Vous devriez venir car nous avons un meurtre.

    *

    -       Qu’est-ce que c’est que ça ? demanda un policier.

    -       C’est un poème laissé par le meurtrier; je vais vous le lire.

    « La mort ou la vie, personne ne peut choisir son destin mais on peut le prévoir…

    *

                Le lendemain Alex se rendit compte en regardant la télé que la maison du président avait explosé. Le président est mort !

     

     

     

     

    Alexa : La jeune policière…

                Quand  elle arriva à son école elle marchait tranquillement mais elle était stressée à l’idée d’être moquée par ses camarades de classe. Elle s’appelait Rose, elle avait un très joli sourire et des joues toutes roses. On se moquait d’elle car elle était rousse.

    *

                Rose avait grandi, elle avait 19 ans à présent et suivait des stages pour être policière. Quelque temps après, elle rentra dans la police.

    *

                Elle avait 25 ans et menait des enquêtes comme une vraie policière. Elle avait réalisé son rêve d’enfant.

     

    Louise F : Larmes…

                Un matin, vers huit heures je venais de me lever, je vis une voiture de police qui était garée au milieu de la route.

    *

                J’entendis le policier qui m’appelait pour me poser des questions, il me dit que mon voisin d’en face était décédé cette nuit. Il me demanda si j’avais entendu des bruits suspects pendant la nuit. Je lui répondis que non et le policier partit. Je me mis alors à pleurer de toutes mes forces sans pouvoir m’arrêter. Même si je le voulais, je ne pouvais pas. Mes parents me demandèrent si je souhaitais aller le voir une dernière fois avant qu’il ne soit enterré.

    *

                Une semaine après les policiers ont découvert que mon voisin Léo avait été renversé par une voiture.

     

    Nathan : Meurtre à la station-service

                Un lundi matin, Hugo Frugerolle se leva à 7h30 précises, il mit son café à chauffer et reçut un coup de téléphone. On lui dit qu’il devait se rendre sur un lieu où un meurtre avait été  commis cette nuit. Hugo Frugerolle est détective ! Il prit son café vitesse grand V et se rendit donc à la station service de Los Angeles, à Beverley Hill.   

     

     

    Iolana : Quand Simon Segré voyage…

                Le lendemain, à 14h35 précises, Simon Segré était arrivé à l’aéroport où il avait vu Antoine avant de prendre l’avion. À 23h41 Simon Segré était arrivé dans le grand nord américain. A l'hôtel, il alla dans sa chambre et trouva une lettre posée sur son lit, elle avait été écrite par Antoine.

     

     

    Elise : Suspense…

                La porte du garage était ouverte. La maison semblait abandonnée. Il alla dans la pièce où il avait vu une ombre se faufiler. Tout d’un coup, Thomas entendit des bruits de pas qui claquaient dans l’eau du sous-sol inondé. L’enquêteur s’arrêta de respirer. Il sentit une personne qui lui frôla  le dos, il alluma sa lampe torche qu’il bougea dans tous les sens en espérant apercevoir quelqu’un.    

     

    Clara B : Une nuit de pleine lune…

                Sophie chercha des indices et trouva un porte-clefs appartenant à Sarah, rien d’autre. En sortant de la maison, elle découvrit sur le sol un bouton de chemise appartenant à Sarah.  Elle pensa qu’il était  temps d’aller dormir et qu’elle le ferait analyser le lendemain par le laboratoire. En rentrant chez elle, elle découvrit qu’une personne s’était cachée dans une voiture en essayant de ne pas se faire voir.

     

    Florian : Glacial…

                Je m’appelle John et je suis détective privé.  C’était une nuit glaciale sur New York. Je m’arrêtai devant une boutique qui était toujours ouverte. Je regardais ma montre quand soudain, j’entendis un cri, le cri d’une femme. Je rentrai dans la boutique et vis un corps.

     

     

     

     

     

     

    Frédéric : L’attentat…

                Victime d’un attentat, le président Marché fut tué par un professionnel. Le détective Fréderic Berth va mener l’enquête. Trois suspects sont dans la salle et vont être interrogés.

    -       Bonjour messieurs, je me présente : Fréderic Berth, détective de gendarmerie   

    *

                Durant la pause, Fredi Berth discute avec un collègue présent lors de l’interrogatoire. 

    -       Je doute que le coupable soit Math Peter.

     

    Manon : Confidences…

                Un samedi matin, au petit-déjeuner, ma sœur me raconta une de ses enquêtes. Elle me dit qu’un jour elle avait été appelée par son chef car on avait découvert un corps au milieu des rails.  

     

    Louis : Coups mortels…

                Un soir il entendit deux coups de feu devant chez lui, il courut pour aller voir  ce qui se passait. Il découvrit  un corps par terre avec deux trous de balles, un dans la tête et un dans la jambe.

     


        

     

                        

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

     

     


  • Commentaires

    1
    Samedi 26 Mars 2016 à 18:40

    Heureux d'avoir eu le temps de faire un petit tour sur ton domaine...

    Encore plus heureux de te retrouver à Saint Cyr fin mai.

    Bises!

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    2
    Jeudi 17 Novembre 2016 à 17:10

    Le temps passe, les jours nous échappent... on ne vous oublie pas. Un vif succès à toi pour l'écriture. Pensées amicales à toute la famille au plaisir.... et des ventes exceptionnelles !

    happy

     

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